Dans un papier intitulé « Avec l’Allemagne, le lent réveil diplomatique européen » qui vient de paraître dans La Croix, je commente avec mon collègue Charles Tenenbaum, maître de conférences à Sciences Po Lille et également membre du Groupe de recherche CNRS sur l’action multilatérale (GRAM), les relations tendues entre l’Europe et la Turquie en méditerranée et le rôle diplomatique joué par l’Allemagne qui a, jusqu’à la fin de l’année 2020, la présidence du Conseil de l’Union européenne (UE).